Historique




En 1964, leur fils William, passionné par le métier d’agriculteur, rejoint ses
parents sur l’exploitation en tant qu’aide familial,
Ce dernier s’installe en 1975, et fait le choix d’orienter son exploitation vers le secteur de la polyculture. Ses parents
maintiennent les 2 activités complémentaires : la cressiculture et l’élevage jusqu’à leur départ en retraite, en 1994,
A partir de 1995, William WILLI cherche une solution pour valoriser les cressonnières abandonnées. Attiré par la beauté des plans
d’eau, il entreprend, en 1996, la création d’un étang de 1 600 m2 pour son plaisir personnel.
En 2007, l'un de ses deux fils Vincent a repris l'activité pêche, dans un premier temps, en espérant des années plus prometteuse pour l'agriculture française, car le principe de gestion ira sans nul doute vers des super-surcaces, afin d'absorber des investisement qu'actuellement un grands nombres d'agriculteurs ont peine à réussir à combler tout en se versant un salaire décent.
Développement de l’activité pêche
Afin de répondre à la demande, et par goût du contact, il réalise un deuxième étang, d’une superficie de 2 600 m2, dans le but d’ouvrir au public, dès 1997. Il propose également une restauration rapide (grillades…), et pour les comités d’entreprises des buffets froids. On peut pêcher :
l'organisation de l'activité
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D’une superficie de 40 ha en 1965, l’exploitation agricole familiale compte aujourd’hui 156 ha. Les cultures mises en place sont le blé pour les 2/3 de l’exploitation, le maïs, le colza et les pois protéagineux. William WILLI réalise seul tous les travaux agricoles. Il participe par ailleurs à l’activité pêche (ouverture et/ou fermeture du site, restauration, entretien du site…), qui emploie 1 salarié à plein temps et 1 salarié à mi-temps. |
Il est difficile de gérer en parallèle l’activité polyculture et l’activité pêche, car cette dernière demande une permanence continue, afin d’accueillir la clientèle et entretenir les lieux, souvent au détriment de la vie familiale.
La diversification « pêche » est arrivée à temps pour pérenniser son exploitation.
Aujourd’hui, les 2/3 du chiffre d’affaires sont issus de l’activité polyculture, et 1/3 de l’activité pêche, mais cette tendance risque de s’inverser dans les années à venir.